bernardpeyroles
Ecriture, Peinture, Masques.
Peintures série 3
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Elle ouvre les yeux jaunes du chat angora, de terreur agacée.
La destinée suprême est exécutée par détresse en se référant à un barème de justes aumônes.
Un vieux délire et de tristes désirs effacent la nuit de trainées de suie.
Elle titube, enivrée de remords, esseulée malgré tout, au départ comme à l’arrivée,
Sans beaucoup d’atouts,
Le cœur toujours chaviré, elle ferme maintenant les yeux devenus mauves du chat compagnon.
Solides vérités de passions insoumises, faciles parités de pleurs et de rires, je souhaiterais un feu d’artifice en ayant des regards pas sages, plein de vertigineuses malices.
Elle s’agite d’odeur à éternuer.
Poudre pacotille, jeux de billes.
Trois désirs et demi, plus un autre demi, ne feront jamais l’infini.
Cube de béton enrobé de nacre trop chère pour être naturelle,
Mécanique à piston pour un sage.
Dans la ville sale, un musée restaure des objets trop usés.
Solution aromatisée de parfum essence soulevant les robes avec indécence, s’évapore des narines dilatées créant un faux problème de société.
Béton en verdure asséchée,
Troncs d’arbres très durs avec des feuilles en tôle ondulée.
Création acidulée sur un gazon de plastique, il y fait bon de se rouler en imaginant que l’herbe est vraie.
L’ascenseur plein d’humour charge au rez-de-chaussée les derniers vestiges d’amour.
De stupides sentiments de déroute congratulent les fleurs du doute d’un record de faux témoignages.
Le béton est présent.
Le printemps sera absent.
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